Comment Réduire les effets de la lumière bleue sur le sommeil
Cet article explore en détail les effets négatifs de la lumière bleue issue de nos écrans et propose des solutions pratiques pour y remédier.
Par Guillaume Kac – 25 mars 2021
La recherche du bonheur ?Quête perpétuelle de l’humanité, la recherche du bonheur fait couler beaucoup d’encre. Mais de quel bonheur parle-t-on ? Comment la perception du bonheur a-t-elle évoluée avec le temps ? Jean-Baptiste Baudier, psychologue, praticien de psychologie positive, doctorant à l’université Grenoble Alpes, président et co-fondateur de l’association Social Plus qui vise à promouvoir la psychologie positive, tentera de répondre à ces nombreuses questions.
Le lien entre bien-être et bonheur est très fort en psychologie. Cette recherche de bonheur concerne tous les Hommes. « C’est une des premières demandes qu’on trouve chez les patients. Comment est-ce que je peux aller mieux ? Comment est-ce que je peux augmenter mon bien-être ? Comment est-ce que je peux redonner du sens à ma vie ? » constate Jean-Baptiste Baudier.
Les librairies regorgent de livres sur la quête du bonheur, de sens, de bien-être personnel. On assiste depuis quelques dizaines d’années à une recherche davantage individuelle du bonheur, ce qui n’a pas toujours été le cas dans l’Histoire.
La définition du bonheur a évolué au fur et à mesure des époques. Les hommes préhistoriques, par exemple, n’avaient pas les mêmes désirs, la même projection du bonheur qu’un adulte au XXième siècle. « Pour notre ancêtre homo-sapiens, la question du bonheur c’est : comment est ce que je vais survivre, comment est ce que je vais permettre à l’espèce de perdurer dans le temps ? » explique le psychologue Jean-Baptiste Baudier.
Au Moyen-Âge, notamment en Europe, « pour être heureux, il faut suivre les préceptes religieux, et le choix est binaire : soit je suis ces préceptes et je vais vers le paradis, soit je ne les suis pas et je me tourne plutôt vers l’enfer, le malheur, le désespoir. »
Pendant la révolution industrielle, la quête du bonheur se situe plutôt dans le progrès scientifique et médical. Petit à petit, le bonheur s’individualise et la quête de sens se veut plus forte. « En termes de capacités d’actions, en termes de pouvoir d’agir des individus, c’est plus pertinent que chaque individu choisisse ce qui compte pour lui et ce pourquoi est ce qu’il veut avancer dans la vie, plutôt que de suivre ce qu’on a choisi pour lui » explique Jean-Baptiste Baudier. Un lien s’établit entre bonheur et liberté et qui jusqu’à aujourd’hui se fait de plus en plus important.
Aujourd’hui lorsqu’on parle de bonheur, on peut penser à un bonheur éphémère, matériel qui sur le moment nous rendra heureux. C’est ce qu’on appelle le bonheur hédonique en psychologie. « Le problème de ce bien-être, c’est qu’en fait il est très dépendant des conditions extérieures » rappelle Jean-Baptiste Baudier. Une des difficultés majeures de ce bonheur est qu’on « s’habitue à ressentir des sensations de plaisir, on s’habitue à ce bien-être hédonique » donc on ne le voit plus dans notre quotidien.
Pour éviter cela, il est conseillé de porter davantage notre attention sur tout ce qui fait notre vie et qui la rend belle. Petites ou grandes choses, s’émerveiller et prendre le temps d’observer est un bon moyen de sortir d’un bien-être futile pour espérer atteindre un bonheur plus incarné.
Cet article explore en détail les effets négatifs de la lumière bleue issue de nos écrans et propose des solutions pratiques pour y remédier.
Cet article explore en détail les effets négatifs du manque de sommeil sur la santé globale. Il propose également des solutions pratiques et efficaces pour remédier à ce problème, en mettant l’accent sur des stratégies qui permettent d’améliorer la qualité du sommeil et de prévenir les conséquences néfastes sur la santé.
La création d’habitudes durables constitue une étape fondamentale pour quiconque aspire à améliorer sa vie, qu’il s’agisse de sa sphère personnelle ou professionnelle. Que ce soit pour adopter une routine d’exercice, améliorer sa productivité ou cultiver un état d’esprit positif, la mise en place d’habitudes solides joue un rôle déterminant dans l’atteinte de ces objectifs. Pourtant, malgré les meilleures intentions, il est souvent difficile de maintenir ces habitudes sur la durée. Ce qui différencie une habitude passagère d’un comportement profondément ancré est rarement lié à la motivation ou à l’intensité avec laquelle on commence. Bien que ces éléments puissent jouer un rôle dans l’initiation d’une nouvelle habitude, ils ne suffisent pas à en garantir la pérennité. Ce qui fait véritablement la différence, c’est la cohérence.
Le changement est souvent perçu comme une menace, et la résistance qu’il suscite est une réaction humaine tout à fait naturelle. En effet, que ce soit dans le cadre professionnel ou personnel, s’adapter à de nouvelles méthodes, technologies ou stratégies peut représenter un véritable défi. Cette résistance au changement est principalement alimentée par la peur de l’inconnu et l’incertitude face aux résultats. Beaucoup craignent de perdre leur maîtrise sur une situation en pleine évolution ou d’échouer dans l’adoption de nouvelles pratiques. À cela s’ajoute le confort de la routine, cette zone de confort où l’on se sent en sécurité, sans besoin de prendre de risques. Ainsi, lorsqu’un changement intervient, la première réaction est souvent le rejet, car il bouscule des habitudes ancrées et peut provoquer de l’anxiété.
Adopter de nouvelles habitudes saines est un levier puissant pour améliorer notre bien-être global, tant physique que mental. Que ce soit pour améliorer sa santé, augmenter sa productivité, ou simplement pour se sentir mieux dans son quotidien, l’intégration de routines positives peut véritablement transformer notre vie. Pourtant, aussi simple que cela puisse paraître en théorie, mettre en place de nouvelles habitudes est un processus complexe. Il ne s’agit pas simplement de décider de changer et de le faire du jour au lendemain, mais plutôt d’un effort conscient et progressif. Ce processus demande de la discipline, de la patience, ainsi qu’une approche méthodique et structurée pour garantir des résultats durables.
Le succès, souvent perçu comme le fruit du travail acharné et du talent exceptionnel, repose en réalité sur un pilier fondamental souvent négligé : l’attitude mentale ou mindset. Bien que le dévouement et les compétences soient importants, la manière dont une personne pense, perçoit les défis et gère les revers est ce qui détermine véritablement sa capacité à réussir. Cette attitude mentale influence chaque aspect de notre comportement et de nos décisions, jouant un rôle essentiel dans notre aptitude à surmonter les obstacles, à persévérer et à saisir les opportunités.
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