Comment Réduire les effets de la lumière bleue sur le sommeil
Cet article explore en détail les effets négatifs de la lumière bleue issue de nos écrans et propose des solutions pratiques pour y remédier.
Par Guillaume Kac – 20 septembre 2018
Pourquoi certaines personnes ressentent-elles moins la douleur ?
Des chercheurs de l’école de médecine de Wake Forest (Caroline du Nord, États-Unis) auraient trouvé la réponse : ce serait dû à la pleine conscience.
« La pleine conscience est liée à la conscience du moment présent, sans trop de réaction émotionnelle ou de jugement », décrit le professeur adjoint de neurobiologie et d’anatomie à la faculté et auteur principal de l’étude, Fadel Zeidan. « Nous savons maintenant que certaines personnes sont plus conscientes que d’autres, et ces personnes semblent ressentir moins de douleur. »
Pour cette étude publiée dans la revue Pain, les chercheurs ont analysé les données d’un précédent essai de 2015 qui comparait la médiation de pleine conscience à l’effet placebo analgésique. Le but des nouvelles recherches était de déterminer si la « vigilance dispositionnelle » – le niveau de conscience inné d’un individu – était associée à une sensibilité plus faible à la douleur. Les chercheurs se questionnaient également sur les mécanismes cérébraux en jeu.
76 volontaires sains qui n’avaient jamais médité ont d’abord réalisé ce qu’on appelle l’inventaire de pleine conscience de Freiburg. Il s’agit d’une mesure clinique fiable qui permet de déterminer leurs niveaux de base de pleine conscience. Ensuite, une stimulation thermique douloureuse leur a été administrée, tout en observant leurs cerveaux par IRM.
Pour comprendre ce que les analyses de ces mêmes cerveaux ont démontré, il faut d’abord comprendre ce qu’est le réseau du mode par défaut. C’est une région du cerveau, qui s’étend du cortex cingulaire postérieur au cortex préfrontal médian. Ces deux zones s’alimentent continuellement en informations, et sont associées au traitement du « sentiment de soi » et de l’ « errance des pensées ». Elles sont par exemple actives lorsqu’un individu n’est pas focalisé sur le monde extérieur. Le cerveau est au repos, mais actif.
Fadel Zeidan explique : « Dès que vous commencez à exécuter une tâche, la connexion entre ces deux régions du cerveau dans le réseau du mode par défaut se désengage et le cerveau alloue des informations et des processus à d’autres zones neuronales. Le réseau du mode par défaut se désactive lorsque vous effectuez une tâche quelconque, telle que la lecture ou l’écriture. Le réseau du mode par défaut est réactivé chaque fois que l’utilisateur arrête d’effectuer une tâche et revient aux pensées, émotions et sentiments personnels ».
Revenons aux analyses des cerveaux de nos 76 volontaires. Elles ont montré que les participants qui signalaient une douleur plus élevée activaient plus fortement une région du cerveau : le cortex cingulaire postérieur, nœud central du réseau du mode par défaut. De plus, l’IRM a révélé que les personnes qui activaient le moins ce cortex cingulaire postérieur étaient celles qui avaient obtenu une évaluation de pleine conscience plus élevée à l’inventaire de Freiburg. Elles ressentaient donc moins la douleur.
« Maintenant, nous avons de nouvelles munitions pour cibler cette région du cerveau dans le développement de thérapies efficaces contre la douleur. Ce travail montre que nous devons considérer notre niveau de pleine conscience pour calculer pourquoi et comment ressentir moins de douleur », en déduit Fadel Zeidan.
Cet article explore en détail les effets négatifs de la lumière bleue issue de nos écrans et propose des solutions pratiques pour y remédier.
Cet article explore en détail les effets négatifs du manque de sommeil sur la santé globale. Il propose également des solutions pratiques et efficaces pour remédier à ce problème, en mettant l’accent sur des stratégies qui permettent d’améliorer la qualité du sommeil et de prévenir les conséquences néfastes sur la santé.
La création d’habitudes durables constitue une étape fondamentale pour quiconque aspire à améliorer sa vie, qu’il s’agisse de sa sphère personnelle ou professionnelle. Que ce soit pour adopter une routine d’exercice, améliorer sa productivité ou cultiver un état d’esprit positif, la mise en place d’habitudes solides joue un rôle déterminant dans l’atteinte de ces objectifs. Pourtant, malgré les meilleures intentions, il est souvent difficile de maintenir ces habitudes sur la durée. Ce qui différencie une habitude passagère d’un comportement profondément ancré est rarement lié à la motivation ou à l’intensité avec laquelle on commence. Bien que ces éléments puissent jouer un rôle dans l’initiation d’une nouvelle habitude, ils ne suffisent pas à en garantir la pérennité. Ce qui fait véritablement la différence, c’est la cohérence.
Le changement est souvent perçu comme une menace, et la résistance qu’il suscite est une réaction humaine tout à fait naturelle. En effet, que ce soit dans le cadre professionnel ou personnel, s’adapter à de nouvelles méthodes, technologies ou stratégies peut représenter un véritable défi. Cette résistance au changement est principalement alimentée par la peur de l’inconnu et l’incertitude face aux résultats. Beaucoup craignent de perdre leur maîtrise sur une situation en pleine évolution ou d’échouer dans l’adoption de nouvelles pratiques. À cela s’ajoute le confort de la routine, cette zone de confort où l’on se sent en sécurité, sans besoin de prendre de risques. Ainsi, lorsqu’un changement intervient, la première réaction est souvent le rejet, car il bouscule des habitudes ancrées et peut provoquer de l’anxiété.
Adopter de nouvelles habitudes saines est un levier puissant pour améliorer notre bien-être global, tant physique que mental. Que ce soit pour améliorer sa santé, augmenter sa productivité, ou simplement pour se sentir mieux dans son quotidien, l’intégration de routines positives peut véritablement transformer notre vie. Pourtant, aussi simple que cela puisse paraître en théorie, mettre en place de nouvelles habitudes est un processus complexe. Il ne s’agit pas simplement de décider de changer et de le faire du jour au lendemain, mais plutôt d’un effort conscient et progressif. Ce processus demande de la discipline, de la patience, ainsi qu’une approche méthodique et structurée pour garantir des résultats durables.
Le succès, souvent perçu comme le fruit du travail acharné et du talent exceptionnel, repose en réalité sur un pilier fondamental souvent négligé : l’attitude mentale ou mindset. Bien que le dévouement et les compétences soient importants, la manière dont une personne pense, perçoit les défis et gère les revers est ce qui détermine véritablement sa capacité à réussir. Cette attitude mentale influence chaque aspect de notre comportement et de nos décisions, jouant un rôle essentiel dans notre aptitude à surmonter les obstacles, à persévérer et à saisir les opportunités.
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