Comment Réduire les effets de la lumière bleue sur le sommeil
Cet article explore en détail les effets négatifs de la lumière bleue issue de nos écrans et propose des solutions pratiques pour y remédier.
Par Guillaume Kac – 13 octobre 2017
Des chercheurs ont prouvé que la méditation peut changer la structure de notre cerveau pour nous rendre plus attentifs, améliorer nos relations sociales et notre interaction avec l’environnement.
La méditation peut modifier la structure de notre cerveau pour nous rendre plus attentif, collaboratif et empathique, c’est du moins ce que démontre l’étude publiée dans le Journal Science Advance. Les neurosciences ont prouvé que notre cerveau change et s’adapte selon les expériences vécues toute au long de notre vie. Mais la plasticité de cet organe, au regard de nos expériences socioculturelles, reste encore bien mal connue.
Afin d’étudier si les activités sociales et surtout la méditation ont une influence sur la structure de notre cerveau, des chercheurs ont suivi un groupe de 332 personnes âgées de 20 à 55 ans. Durant 9 mois ces individus ont suivi trois modules de méditation de trois mois chacun. L’objectif étant de stimuler tour à tour trois régions du cerveau: le centre de l’attention et de la conscience, la région liée aux compétences socioaffectives et enfin la région sociocognitive du cerveau. Après chaque module, les chercheurs ont collecté et analysés les IRM et les tests comportementaux de ces individus.
Le premier module du programme s’est focalisé sur la capacité à être attentif au moment présent et sur l’introspection. Ces séances étaient basées sur des pratiques classiques de méditations par la respiration, la vision, le goût, le toucher ou encore la marche. Ces séances ont été complétées par des temps de contemplations, l’objectif étant d’atteindre «la pleine conscience».
Les IRM ont révélé que ces entraînements avaient majoritairement épaissi la région du cortex préfrontal. Cette partie du cerveau est impliquée dans des fonctions telles que le langage, la mémoire de travail, le raisonnement, les processus affectifs ou le traitement des conflits. D’après l’étude, ce changement de structure dans le cerveau par la méditation est à l’origine d’une amélioration dans l’application de ces taches quotidienne.
Les tests comportementaux de leur côté ont confirmé une nette amélioration des capacités d’attention des participants. La méditation pourrait donc, à l’avenir, jouer un rôle dans la prise en charge de l’hyper activité ou de pathologies liées au déficit de l’attention.
Le deuxième module avait pour objet de tester la capacité des participants à avoir de la compassion, à prendre soin des autres, ainsi que leur motivation à interagir en société et à gérer des émotions difficiles. Pour se faire, ils ont suivi pendant 3 mois des séances de méditation couplées à des exercices de communication verbale en duo.
Les entraînements ont provoqué une plasticité dans le cortex insulaire: cette région du cerveau encore méconnue participerait à notre conscience, à la formation de nos goûts. Elle jouerait par ailleurs un rôle dans nos possibles dépendances. Elle fait aussi partie du système limbique qui est quant à lui responsable de nos émotions comme la peur, l’agressivité ou le plaisir.
L’étude suggère que les exercices suivis durant ce module changeraient structurellement notre cerveau et induiraient des modifications comportementales. Au terme de ce module en effet, la majorité des personnes faisaient preuve de plus de compassion.
Le troisième module expérimenté était basé sur la «théorie de l’esprit». En sciences cognitives, elle désigne le processus permettant à chacun de reconnaître et définir un état d’esprit, qu’il s’agisse du sien ou de celui des autres. Plus largement, elle permet de comprendre qu’autrui pense différemment de nous-même. Cette aptitude nous permet entre autres de communiquer, collaborer ou encore apprendre.
Les séances visant à stimuler les fonctions sociocognitives ont été à l’origine de changements dans le gyrus frontal inférieur pour la majorité des participants. Cette région contribue au langage, particulièrement à son articulation et sa rapidité de prononciation.
Ces séances ont aussi épaissi la structure du lobe temporal, siège de la mémoire à long terme et de la mémoire dite auditive. Cette région du cerveau est aussi impliquée dans notre vécu émotionnel et donc dans notre façon de percevoir nos expériences, notre environnement ou notre entourage. Elle serait aussi responsable de notre capacité à distinguer le familier de l’inconnu. En améliorant la plasticité de cette région du cerveau, les chercheurs espèrent pouvoir instaurer de nouveaux protocoles de soins pour des pathologies comme l’autisme ou la schizophrénie.
Les résultats de cette recherche pourront, à terme et plus largement, contribuer au développement de la méditation dans des secteurs tels que l’éducation, les milieux hospitaliers, les entreprises. L’objectif étant de développer notre intelligence sociale, notre coopérativité et notre motivation à interagir avec autrui.
Cet article explore en détail les effets négatifs de la lumière bleue issue de nos écrans et propose des solutions pratiques pour y remédier.
Cet article explore en détail les effets négatifs du manque de sommeil sur la santé globale. Il propose également des solutions pratiques et efficaces pour remédier à ce problème, en mettant l’accent sur des stratégies qui permettent d’améliorer la qualité du sommeil et de prévenir les conséquences néfastes sur la santé.
La création d’habitudes durables constitue une étape fondamentale pour quiconque aspire à améliorer sa vie, qu’il s’agisse de sa sphère personnelle ou professionnelle. Que ce soit pour adopter une routine d’exercice, améliorer sa productivité ou cultiver un état d’esprit positif, la mise en place d’habitudes solides joue un rôle déterminant dans l’atteinte de ces objectifs. Pourtant, malgré les meilleures intentions, il est souvent difficile de maintenir ces habitudes sur la durée. Ce qui différencie une habitude passagère d’un comportement profondément ancré est rarement lié à la motivation ou à l’intensité avec laquelle on commence. Bien que ces éléments puissent jouer un rôle dans l’initiation d’une nouvelle habitude, ils ne suffisent pas à en garantir la pérennité. Ce qui fait véritablement la différence, c’est la cohérence.
Le changement est souvent perçu comme une menace, et la résistance qu’il suscite est une réaction humaine tout à fait naturelle. En effet, que ce soit dans le cadre professionnel ou personnel, s’adapter à de nouvelles méthodes, technologies ou stratégies peut représenter un véritable défi. Cette résistance au changement est principalement alimentée par la peur de l’inconnu et l’incertitude face aux résultats. Beaucoup craignent de perdre leur maîtrise sur une situation en pleine évolution ou d’échouer dans l’adoption de nouvelles pratiques. À cela s’ajoute le confort de la routine, cette zone de confort où l’on se sent en sécurité, sans besoin de prendre de risques. Ainsi, lorsqu’un changement intervient, la première réaction est souvent le rejet, car il bouscule des habitudes ancrées et peut provoquer de l’anxiété.
Adopter de nouvelles habitudes saines est un levier puissant pour améliorer notre bien-être global, tant physique que mental. Que ce soit pour améliorer sa santé, augmenter sa productivité, ou simplement pour se sentir mieux dans son quotidien, l’intégration de routines positives peut véritablement transformer notre vie. Pourtant, aussi simple que cela puisse paraître en théorie, mettre en place de nouvelles habitudes est un processus complexe. Il ne s’agit pas simplement de décider de changer et de le faire du jour au lendemain, mais plutôt d’un effort conscient et progressif. Ce processus demande de la discipline, de la patience, ainsi qu’une approche méthodique et structurée pour garantir des résultats durables.
Le succès, souvent perçu comme le fruit du travail acharné et du talent exceptionnel, repose en réalité sur un pilier fondamental souvent négligé : l’attitude mentale ou mindset. Bien que le dévouement et les compétences soient importants, la manière dont une personne pense, perçoit les défis et gère les revers est ce qui détermine véritablement sa capacité à réussir. Cette attitude mentale influence chaque aspect de notre comportement et de nos décisions, jouant un rôle essentiel dans notre aptitude à surmonter les obstacles, à persévérer et à saisir les opportunités.
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