Comment Réduire les effets de la lumière bleue sur le sommeil
Cet article explore en détail les effets négatifs de la lumière bleue issue de nos écrans et propose des solutions pratiques pour y remédier.
Par Guillaume Kac – 09 décembre 2019
À condition d’être pratiquée régulièrement, la méditation de pleine conscience peut avoir cinq impacts profonds sur nous :
Selon les recherches du Pr Davidson, les pratiques régulières méditatives atténuent l’activité de notre amygdale (la vigie de nos émotions dans notre cerveau limbique) et augmentent les liaisons entre elle et le cortex préfrontal. Nous devenons moins réactifs au stress et plus rapides à en sortir.
La plupart d’entre nous sommes capables de ressentir de la compassion, mais aussi de souffrir lorsque nous voyons les autres souffrir, pouvant entrainer chez nous un état de paralysie ou d’inhibition. Les études montrent que la pratique de la méditation dite de « l’amour bienveillant » augmente notre volonté d’agir pour soulager la souffrance des autres. Elle diminue l’activité de l’amygdale face à la souffrance, tout en activant des circuits dans le cerveau liés aux bons sentiments.
Rien d’étonnant à ce que la méditation affecte l’attention, car de nombreux exercices méditatifs se concentrent sur cette compétence. Les chercheurs ont constaté que la méditation contribue à lutter contre l’habituation (tendance à cesser de prêter attention aux nouvelles informations qui surviennent dans notre environnement). Des études ont montré que l’amélioration de l’attention semble durer jusqu’à cinq ans après un programme de mindfulness, suggérant ainsi que des changements de nos traits de caractère sont possibles. Ce bénéfice de la méditation est particulièrement important, car il agit sur ce qui nous rend efficace : meilleur apprentissage, vision créative, perspective d’un projet jusqu’à son terme.
De nombreuses preuves existent montrant les bénéfices de la méditation sur notre santé (réduction de la douleur, par exemple). Par ailleurs, il existe des preuves solides de l’impact de la méditation sur les indicateurs physiologiques de la santé. Ainsi, la pratique méditative à long terme diminuerait la réponse inflammatoire chez les personnes sous stress psychologique. En outre, les méditants semblent activer la télomérase (enzyme impliquée dans une vie cellulaire plus longue), donc augmenterait leur longévité.
Selon les études, l’activité de notre « réseau par défaut » (partie du cerveau qui, lorsqu’elle n’est pas occupée par une activité ciblée, entraine la rumination anxiogène de nos pensées, sentiments et expériences désagréables) se calme chez les méditants expérimentés, suggérant que nous nous apitoyons moins sur nous-mêmes et notre place dans le monde. Les méditants réguliers semblent également avoir des noyaux accumbens plus petits (partie du cerveau associée au plaisir, mais aussi aux addictions). Selon les auteurs, ces régions du cerveau confirment très probablement ce que les textes bouddhistes traditionnels considèrent comme les causes profondes de la souffrance : l’attachement et l’aversion, quand l’esprit se fige pour désirer quelque chose ou se débarrasser de quelque chose de désagréable.
Le dernier livre de Richard Davidson (en anglais pour le moment) : Altered Traits
Cet article explore en détail les effets négatifs de la lumière bleue issue de nos écrans et propose des solutions pratiques pour y remédier.
Cet article explore en détail les effets négatifs du manque de sommeil sur la santé globale. Il propose également des solutions pratiques et efficaces pour remédier à ce problème, en mettant l’accent sur des stratégies qui permettent d’améliorer la qualité du sommeil et de prévenir les conséquences néfastes sur la santé.
La création d’habitudes durables constitue une étape fondamentale pour quiconque aspire à améliorer sa vie, qu’il s’agisse de sa sphère personnelle ou professionnelle. Que ce soit pour adopter une routine d’exercice, améliorer sa productivité ou cultiver un état d’esprit positif, la mise en place d’habitudes solides joue un rôle déterminant dans l’atteinte de ces objectifs. Pourtant, malgré les meilleures intentions, il est souvent difficile de maintenir ces habitudes sur la durée. Ce qui différencie une habitude passagère d’un comportement profondément ancré est rarement lié à la motivation ou à l’intensité avec laquelle on commence. Bien que ces éléments puissent jouer un rôle dans l’initiation d’une nouvelle habitude, ils ne suffisent pas à en garantir la pérennité. Ce qui fait véritablement la différence, c’est la cohérence.
Le changement est souvent perçu comme une menace, et la résistance qu’il suscite est une réaction humaine tout à fait naturelle. En effet, que ce soit dans le cadre professionnel ou personnel, s’adapter à de nouvelles méthodes, technologies ou stratégies peut représenter un véritable défi. Cette résistance au changement est principalement alimentée par la peur de l’inconnu et l’incertitude face aux résultats. Beaucoup craignent de perdre leur maîtrise sur une situation en pleine évolution ou d’échouer dans l’adoption de nouvelles pratiques. À cela s’ajoute le confort de la routine, cette zone de confort où l’on se sent en sécurité, sans besoin de prendre de risques. Ainsi, lorsqu’un changement intervient, la première réaction est souvent le rejet, car il bouscule des habitudes ancrées et peut provoquer de l’anxiété.
Adopter de nouvelles habitudes saines est un levier puissant pour améliorer notre bien-être global, tant physique que mental. Que ce soit pour améliorer sa santé, augmenter sa productivité, ou simplement pour se sentir mieux dans son quotidien, l’intégration de routines positives peut véritablement transformer notre vie. Pourtant, aussi simple que cela puisse paraître en théorie, mettre en place de nouvelles habitudes est un processus complexe. Il ne s’agit pas simplement de décider de changer et de le faire du jour au lendemain, mais plutôt d’un effort conscient et progressif. Ce processus demande de la discipline, de la patience, ainsi qu’une approche méthodique et structurée pour garantir des résultats durables.
Le succès, souvent perçu comme le fruit du travail acharné et du talent exceptionnel, repose en réalité sur un pilier fondamental souvent négligé : l’attitude mentale ou mindset. Bien que le dévouement et les compétences soient importants, la manière dont une personne pense, perçoit les défis et gère les revers est ce qui détermine véritablement sa capacité à réussir. Cette attitude mentale influence chaque aspect de notre comportement et de nos décisions, jouant un rôle essentiel dans notre aptitude à surmonter les obstacles, à persévérer et à saisir les opportunités.
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